« Celui qui n’a pas encore traversé le fleuve ne doit point se moquer de celui qui se noie », nous apprend un proverbe africain.
La justice guinéenne vient de se bouger, apprend-on de sources judiciaires, pour que ceux qui se croyaient au-dessus de la loi, soient entendus au sujet des primes que l’ORDEF(Office de Répression des Délits Économiques et Financiers) juge d’avoir été indûment payées aux membres du Conseil d’Administration (CA), en violation des traités de l’OHADA (Organisation pour l'Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires), en ces articles 430, 431, 432 et suivants de l’Acte Uniforme sur les sociétés commerciales.
La justice guinéenne vient de se bouger, apprend-on de sources judiciaires, pour que ceux qui se croyaient au-dessus de la loi, soient entendus au sujet des primes que l’ORDEF(Office de Répression des Délits Économiques et Financiers) juge d’avoir été indûment payées aux membres du Conseil d’Administration (CA), en violation des traités de l’OHADA (Organisation pour l'Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires), en ces articles 430, 431, 432 et suivants de l’Acte Uniforme sur les sociétés commerciales.
Mieux vaut tard que jamais. Ce n’est plus qu’une question de jours ou d’heures.
C’est le lieu d’ailleurs de saluer la vision du Général Mamadi Doumbouya pour faire en sorte que la justice soit, comme il l’a toujours prôné, la boussole qui oriente l'action gouvernementale. Toute chose qui permet d’éviter les pratiques d’antan, du genre « deux poids, deux mesures » et les règlements de compte via la justice.
la Rédaction
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