En Afrique subsaharienne, près de 25 pour cent des femmes se lancent dans l'entrepreneuriat, contre seulement 6 pour cent en Europe.
L'Allemagne et le Maroc ont convenu de lancer une deuxième phase du projet « Promotion de l'entrepreneuriat féminin » (FEMMPACT), qui offre à de jeunes femmes ivoiriennes et sénégalaises porteuses de projets un écosystème adapté à leurs besoins spécifiques pour lancer leurs entreprises. L'exécution de la nouvelle phase a fait l'objet d'un contrat signé entre l'Agence allemande de coopération internationale (GIZ) et l'Agence marocaine de coopération internationale (AMCI).
Mandaté par le ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du développement (BMZ), le FEMMPACT est mis en œuvre par la GIZ, l'AMCI et le « Social Innovation Lab » relevant de l'université marocaine Mohamed VI Polytechnique (UM6P). Le projet a mis un accent sur le renforcement de l'écosystème entrepreneurial dédié aux femmes porteuses de projets et la promotion du réseautage entre les structures d'accompagnement, a indiqué la GIZ.
Clôturée fin novembre 2024, la première phase a permis d'outiller six incubateurs sénégalais et ivoiriens sur la création d'un système d'incubation répondant aux besoins et aux défis spécifiques des femmes entrepreneures au Sénégal et en Côte d'Ivoire. Elle a également permis de renforcer les compétences entrepreneuriales de 80 femmes porteuses d'idées de projets pour le lancement de leurs entreprises, et ce, grâce à la formation, au travail en équipe et au réseautage.
Le FEMMPACT vise, en outre, à créer un réseau africain d'incubateurs afin de faciliter le partage des pratiques innovantes en matière d'appui à l'entrepreneuriat féminin sur le continent.
En Afrique subsaharienne, près de 25 pour cent des femmes se lancent dans l'entrepreneuriat, contre seulement 6 pour cent en Europe, a rappelé la GIZ. Cependant, les entrepreneurs subsahariennes sont confrontés à des défis comme la faiblesse de l'écosystème entrepreneurial, l'accès difficile aux financements et aux marchés, le manque d'opportunités de réseautage, le manque de formation technique en gestion des petites et moyennes entreprises (PME) et les contraintes socioculturelles, at-on ajouté.
Mandaté par le ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du développement (BMZ), le FEMMPACT est mis en œuvre par la GIZ, l'AMCI et le « Social Innovation Lab » relevant de l'université marocaine Mohamed VI Polytechnique (UM6P). Le projet a mis un accent sur le renforcement de l'écosystème entrepreneurial dédié aux femmes porteuses de projets et la promotion du réseautage entre les structures d'accompagnement, a indiqué la GIZ.
Clôturée fin novembre 2024, la première phase a permis d'outiller six incubateurs sénégalais et ivoiriens sur la création d'un système d'incubation répondant aux besoins et aux défis spécifiques des femmes entrepreneures au Sénégal et en Côte d'Ivoire. Elle a également permis de renforcer les compétences entrepreneuriales de 80 femmes porteuses d'idées de projets pour le lancement de leurs entreprises, et ce, grâce à la formation, au travail en équipe et au réseautage.
Le FEMMPACT vise, en outre, à créer un réseau africain d'incubateurs afin de faciliter le partage des pratiques innovantes en matière d'appui à l'entrepreneuriat féminin sur le continent.
En Afrique subsaharienne, près de 25 pour cent des femmes se lancent dans l'entrepreneuriat, contre seulement 6 pour cent en Europe, a rappelé la GIZ. Cependant, les entrepreneurs subsahariennes sont confrontés à des défis comme la faiblesse de l'écosystème entrepreneurial, l'accès difficile aux financements et aux marchés, le manque d'opportunités de réseautage, le manque de formation technique en gestion des petites et moyennes entreprises (PME) et les contraintes socioculturelles, at-on ajouté.