À travers son entreprise, Issiaka a lancé récemment une coopérative agricole visant à faciliter aux agriculteurs leur accès aux marchés.
Vulgariser les meilleures techniques agricoles durables, modernes et respectueuses de l’environnement et les rendre accessibles aux agriculteurs ainsi qu’aux jeunes exploitants maliens, tel est l’objectif d’Issiaka Diarra à la tête de l’entreprise « Diarra Agriculture ». Basée à Bamako, l’entreprise est spécialisée dans la production et la transformation agricole mais propose également des formations aux producteurs locaux.
« Nous souhaitons répondre aux défis auxquels sont confrontés nos agriculteurs, tels que la faible productivité, la carence en formation et le manque d'accès aux informations et opportunités du marché. La finalité étant de contribuer au développement du secteur », indique Issiaka dans un entretien accordé à la dpa.
Selon la Banque mondiale, le Mali dispose d’un potentiel agricole considérable. Environ 44 millions d’hectares sont exploitables pour les secteurs de l’agriculture et de l’élevage. Cependant, seulement 7 millions d’hectares (soit 16 pour cent) de cette surface sont cultivés à l’heure actuelle. D’après la BM, les systèmes de production traditionnels, l’accès limité des producteurs aux marchés et au conseil technique figurent parmi les principales causes entravant la libération de ce potentiel.
Depuis 2020, Issiaka a formé plus de 2000 agriculteurs aux pratiques agricoles, à travers son entreprise. « Nous avons eu des retours positifs de nos agriculteurs. Ces derniers nous ont assuré que leur productivité a connu une nette amélioration, outre leurs revenus qui ont augmenté », souligne-t-il. D’après Issiaka, les efforts se concentrent aujourd’hui afin d’étendre les programmes de formation dans tout le pays et de développer des partenariats stratégiques pour accroître l’impact de « Diarra Agriculture ».
Récemment, l’entreprise a lancé une coopérative agricole visant à renforcer la collaboration entre les agriculteurs locaux et à faciliter leur accès aux marchés. Elle compte aujourd’hui plus de 800 membres. Avec son équipe, le jeune agripreneur aspire à promouvoir l'innovation dans le secteur agricole en introduisant continuellement de nouvelles technologies et des pratiques durables.
dpa
« Nous souhaitons répondre aux défis auxquels sont confrontés nos agriculteurs, tels que la faible productivité, la carence en formation et le manque d'accès aux informations et opportunités du marché. La finalité étant de contribuer au développement du secteur », indique Issiaka dans un entretien accordé à la dpa.
Selon la Banque mondiale, le Mali dispose d’un potentiel agricole considérable. Environ 44 millions d’hectares sont exploitables pour les secteurs de l’agriculture et de l’élevage. Cependant, seulement 7 millions d’hectares (soit 16 pour cent) de cette surface sont cultivés à l’heure actuelle. D’après la BM, les systèmes de production traditionnels, l’accès limité des producteurs aux marchés et au conseil technique figurent parmi les principales causes entravant la libération de ce potentiel.
Depuis 2020, Issiaka a formé plus de 2000 agriculteurs aux pratiques agricoles, à travers son entreprise. « Nous avons eu des retours positifs de nos agriculteurs. Ces derniers nous ont assuré que leur productivité a connu une nette amélioration, outre leurs revenus qui ont augmenté », souligne-t-il. D’après Issiaka, les efforts se concentrent aujourd’hui afin d’étendre les programmes de formation dans tout le pays et de développer des partenariats stratégiques pour accroître l’impact de « Diarra Agriculture ».
Récemment, l’entreprise a lancé une coopérative agricole visant à renforcer la collaboration entre les agriculteurs locaux et à faciliter leur accès aux marchés. Elle compte aujourd’hui plus de 800 membres. Avec son équipe, le jeune agripreneur aspire à promouvoir l'innovation dans le secteur agricole en introduisant continuellement de nouvelles technologies et des pratiques durables.
dpa