Sans une égalité réelle dans la famille et la vie culturelle, les femmes n'auront jamais un niveau de santé optimal et ne seront jamais pleinement autonomes, estime l'ONU.
La Mauritanie a déployé des efforts significatifs pour autonomiser les femmes et les filles, mais des lacunes substantielles et continuer d'entraîner les progrès, ont averti des experts de l'ONU, à l'issue d'une visite de douze jours dans le pays. . .
Le groupe de travail de l'ONU sur la discrimination à l'égard des femmes et des filles a indiqué que « des insuffisances systémiques majeures et des barrières socioculturelles », constituant des obstacles importants à la poursuite des progrès. Il a appelé à briser les tabous et à engager un « dialogue national franc, inclusif et soutenu » sur les principaux obstacles dans tous les domaines des droits humains des femmes et des filles.
Les experts ont souligné que le manque d'accès à la justice et à la culture générale de l'impunité autour de la violence fondée sur le genre devait « cesser immédiatement ». Ils ont appelé à mettre fin aux mutilations génitales féminines et aux mariages des enfants.
« La discrimination fondée sur le sexe est souvent niée ou n'est pas correctement reconnue et comprise dans le pays. Il faut dissiper les fausses idées », ont ajouté les experts en appelant les médias à jouer leur rôle clé pour amplifier un discours positif sur l'égalité entre les hommes et les femmes.
Ils ont constaté que la discrimination à l'égard des femmes et des filles les empêche de participer à la vie sociale, y compris à la vie politique et économique. Les femmes n'occupent qu'une faible proportion des postes électifs et nominatifs.
En Mauritanie, où des efforts ont été déployés « en faveur de l'amélioration » de la situation des femmes et des filles, le taux d'abandon scolaire des filles en raison des mariages d'enfants (39 pour cent) et des grossesses précoces (18 pour cent) constituant le principal obstacle à leur
Le groupe de travail de l'ONU sur la discrimination à l'égard des femmes et des filles a indiqué que « des insuffisances systémiques majeures et des barrières socioculturelles », constituant des obstacles importants à la poursuite des progrès. Il a appelé à briser les tabous et à engager un « dialogue national franc, inclusif et soutenu » sur les principaux obstacles dans tous les domaines des droits humains des femmes et des filles.
Les experts ont souligné que le manque d'accès à la justice et à la culture générale de l'impunité autour de la violence fondée sur le genre devait « cesser immédiatement ». Ils ont appelé à mettre fin aux mutilations génitales féminines et aux mariages des enfants.
« La discrimination fondée sur le sexe est souvent niée ou n'est pas correctement reconnue et comprise dans le pays. Il faut dissiper les fausses idées », ont ajouté les experts en appelant les médias à jouer leur rôle clé pour amplifier un discours positif sur l'égalité entre les hommes et les femmes.
Ils ont constaté que la discrimination à l'égard des femmes et des filles les empêche de participer à la vie sociale, y compris à la vie politique et économique. Les femmes n'occupent qu'une faible proportion des postes électifs et nominatifs.
En Mauritanie, où des efforts ont été déployés « en faveur de l'amélioration » de la situation des femmes et des filles, le taux d'abandon scolaire des filles en raison des mariages d'enfants (39 pour cent) et des grossesses précoces (18 pour cent) constituant le principal obstacle à leur
dpa